Aujourd’hui, demain et après-demain, nous participons à la grève nationale tout en restant actifs pour nos bénéficiaires.

Nous dénonçons les pertes de subsides, le manque de reconnaissance envers nos professions ainsi que la fragilisation des institutions et des associations.

Afin de ne pas laisser nos bénéficiaires sans rien, nous assurons un service minimum : petit-déjeuner et douches. Tous les autres services seront fermés pendant 3 jours.

Nous tenons à le souligner : la lutte contre la précarité ne peut se faire qu’avec des moyens et du soutien en suffisance. Or, l’appui du gouvernement fond comme neige au soleil alors que les mesures de ce même gouvernement vont bientôt faire croître la fréquentation de nos services.

Rappel : 1.300.000 euros par an sont nécessaires au bon fonctionnement de notre institution. Moins de 25% de l’aide que nous recevons sont des subsides.